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if i don't speak then we can't fight (jia li)
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Mar 5 Avr - 9:11

Jia Li Yuan

there's no changing who you really are


Age : vingt-deux ans

Sexe : féminin

Orientation : hétérosexuelle

Origine : née à shallows, origines chinoises

Groupe : shallows

Métier(s)/Études : différents petits boulots

Génome
BH-420 11%
BC-333 17%
PR-404 72%

Taille : 1m66
Carrure : fine
Yeux : bruns
Cheveux : bruns
Particularités : aucune


Comportement
DISCRÈTE ▬ Tu as appris à ne pas faire de vague. À ne pas te faire remarquer. C’est ce qu’ils t’ont dit, toutes ces années, toi qui n’es pas née avec les bons gênes et qui se retrouve donc plus à risque, dans les rues dangereuses de Shallows. Tu es discrète, une ombre qui se faufile dans la foule, qu’une vague présence que les autres ne prennent pas la peine de remarquer. Parce que c’est comme ça que tu as appris à vivre, à exister surtout, simplement pour rester un peu plus longtemps en vie.

Sois sage, qu’on t’a dit.
Sois silencieuse.

Parce qu’on t’a demandé de ne rien dire. De ne pas te manifester. De garder tes idées pour toi. Parce qu’il est dangereux, pour toi, que d’avoir une opinion. Dangereux de risquer de provoquer quelqu’un que tu ne connais pas. Provoquer une bête qui pourrait te vouloir du mal. Alors mieux vaut ne rien dire. Hocher de la tête et simplement accepter.

Si tu veux survivre.

PATIENTE ▬ Tu ne demandes pas. N’exiges pas. Tu attends. Tu as donc appris à être patiente. Avec ta famille, avec les autres, mais avec toi-même, aussi. Longtemps dure vis-à-vis de toi-même, faute de ces mauvais gênes que tu as hérité, tu as appris à être un peu plus douce, te concernant. À accepter un peu plus cette nature qui est la tienne, proie entourée de prédateurs. Et tu es donc patiente avec eux, aussi. Peut-être un peu trop. Sans doute un peu trop. À accepter les éclats de colère comme étant normaux, à te dire que ce n’est pas de leur faute.

Que c’est dans leurs gênes.
Qu’ils n’y peuvent rien.

Tu es patiente. Terriblement patiente. Pour ne pas dire tout simplement dire que tu t’écrases, face aux autres. Parce que c’est ce qu’on t’a appris. Mais aussi, et surtout, parce que tu as peur. Même si ça, tu l’assumes un peu moins. Peur des autres. Peur des voix qui montent. Des éclats dont tu es témoin. Du coup qui frappe dans le mur. Peur du sang. Peur de la colère que tu peux sentir bouillir. Que tu peux entendre, douloureusement. Alors tu es patiente. Tolères.

Parce que tu ne voudrais quand même pas les provoquer ?

DÉTERMINÉE ▬ Tu ne t’exprimes pas beaucoup. Tu laisses rarement entendre ce que tu veux, ce à quoi tu aspires. Tu laisses les autres prendre la place sans te faire remarquer. Et pourtant, ce n’est pas parce que tu ne l’exprimes pas que tu n’y penses pas. Que tu n’as pas des idées plein la tête. Et généralement, lorsque tu as une idée, lorsqu’il y a quelque chose qui t’est important, tu t’y tiens. Déterminée, tu l’es. Silencieusement. Sans que personne ne le voit vraiment. Parce que tu agis dans le dos des autres, sans qu’ils n’aient leur mot à dire. Lorsque tu veux quelque chose, tu mets tout en oeuvre pour l’avoir.

À l’abri des regards.
Sans personne pour t’en empêcher.

Tu travailles, beaucoup. Différents petits boulots, du matin au soir, et parfois même dans la nuit. Besoin d’argent, pour être en mesure de faire quelque chose de ta vie. Parce que tu veux plus que cette vie que tu mènes ici. Tu attends plus, de la vie. Tu veux voir autre chose. Faire autre chose. Peut-être réussir à vivre, même. À vivre bien, mieux, sans aucun doute, ailleurs.

À cesser de simplement survivre.

ANXIEUSE ▬ Une menace perpétuelle qui pèse sur tes épaules. Un danger que tu côtoies au quotidien. Rapidement, tu es devenue anxieuse. Méfiante. À craindre un peu tout et n’importe quoi. À ne pas être à l’aise, en présence de personnes que tu ne connais pas. En présence des bêtes qui partagent le quotidien de ta famille, ceux que tes frères ramènent à la maison. Ceux qui te fixent, lorsque les battements de ton coeur s’accélèrent. Lorsque tu commences à te sentir en danger. Et tu détestes ça. Tu détestes te sentir de cette façon. D’être soumise à tes instincts. Tu détestes avoir peur. Vivre dans la peur. Détestes ces réflexes que tu as pris, avec le temps. Cette hypervigilance dont tu fais preuve.

Tu détestes te sentir fragile.
Détestes te sentir menacée.

Et pourtant, c’est plus fort que toi. Et tu dis instinct, mais peut-être pas que. Ta famille, surtout. Ta famille qui t’a appris à te faire petite. Qui t’a appris que les autres seraient un danger. Qu’eux-mêmes le seraient. Et ça tu l’as appris. Douloureusement. Mais tu l’as appris. Tu n’es donc plus très à l’aise, avec les autres. Toujours un regard derrière toi, lorsque tu sors de chez toi. Un malaise bien présent, lorsqu’on t’arrête. Lorsqu’on te parle. Cette horrible impression qu’ils te veulent du mal. Et ça tourne dans ta tête, encore et encore. Et tu te méfies.

Et tu détestes ça.

ORDONNÉE ▬ Pour ne pas dire maniaque. Tu aimes que les choses soient en ordre. Bien placés. Que ton environnement soit bien organisé. Ça te donne un certain sentiment de contrôle que tu n’as pas vraiment dans d’autres sphères de ta vie. Tu y trouves un certain réconfort, donc, dans cette façon que tu as de ranger tes affaires, de gérer cet espace qui est le tiens. Le reste de l’appartement aussi, quoique à plus petite échelle, n’étant malheureusement pas la seule à y vivre. C’est seulement que tu aimes que les choses soient bien ordonnées, que tu dis.

Tu tiens simplement à contrôler ce que tu peux.

RÉALISTE ▬ Il n’y a pas eu de place pour la petite fille rêveuse qui aurait voulu exister. Il n’y a pas eu de place pour celle qui espérait vivre de grandes choses et voir de belles choses. À la place, il y a celle qui a grandi trop vite. Celle à qui on a trop appris trop vite. Celle qui a trop appris, parfois à ses dépends. Il y a toi, à qui très jeune on a appris les réalités de ce monde. La cruauté dont il pouvait faire preuve. Parce que la vie est injuste. Elle ne sourit pas, même à ceux qui travaillent fort. À ceux qui essaient de changer les choses. Et tu en es même la preuve, de cette injustice.

Tu es née proie.
Tu es née faible.

Une bouche de plus à nourrir, déjà chose difficile, mais surtout, à devoir protéger. Parce qu’ils considèrent que tu ne peux pas le faire toi-même. Que tu es perpétuellement en danger. Et tu vis donc comme si c’était le cas, la majorité du temps. Réaliste, pour ne pas dire cynique. Désabusée d’une vie où vivre n’a jamais vraiment été une option, où l’on te reprochait d’essayer de le faire. Car ce n’est pas ta place, que d’être détendue. Que d’apprécier la vie.

Pas ta place que d’essayer de rêver un peu.

VIVANTE ▬ Malgré tout ça, malgré qu’ils aient tenté de t’empêcher de vivre, tu as trouvé façon de le faire. Plus discrètement. Loin des regards curieux. Parce que tu aimes vivre, malgré tout. Malgré la menace qui pèse. Malgré les commentaires parfois acides de ta famille. Tu aimes vivre et tu es curieuse. Tu veux en voir plus. En découvrir plus. Et tu t’es découvert différentes passions, avec le temps. Des comics sur lesquels tu as pu mettre la main, que tu connais presque par coeur, désormais, tant tu les as lu. Cette vieille console de jeux portative, qui a survécu les affres du temps et dont tu prends terriblement soin, qui vit cachée sous ton matelas de peur que ta famille mette la main dessus.

Tu as appris à apprécier vivre en solitaire. Tu dessines aussi un peu, à temps perdu. Tu es pas spécialement douée, mais ça te fait plaisir. Tu retraces ces personnages des comics que tu lis, l’héros du jeu vidéo que tu as recommencé des dizaines et des dizaines de fois aussi. Tu dessines différents paysages, ce que tu pourrais voir ailleurs. Loin d’ici. Tu te cherches et tu te trouves, finalement, au travers de tout ce qui te plaît. Tout ce que tu découvres. Et ça te plaît, de te détendre. De te divertir. T’amuser.

Parce que tu veux vivre.
Parce que tu veux apprendre à vivre.

Anecdotes & Rumeurs
Tu as une passion pour les vieilles choses, pour les romans et comics qui pré-Effondrement • Tu aimes l’art, sous toutes ses formes, surtout la musique • Il n’est pas rare de te voir traîner dans ce bar du coin où se représente parfois un petit groupe local que tu aimes bien • Tu dessines, beaucoup, dès que tu en as l’occasion ou si une idée te vient • Tu t’exprimes beaucoup au travers ces dessins, à défaut de le faire avec des mots • Tu n’as jamais eu de relation amoureuse, n’ayant jamais eu assez confiance en les autres pour te rapprocher de quelqu’un • Tu n’as pas beaucoup d’amis et personne en qui tu as vraiment confiance • Sauf de ton frère aîné, le plus calme du trio, et le seul qui ne t’a jamais fait du mal • Tu as été élevée avec cette impression que les génomes sont quelque chose d’important et avec la certitude que tu dois avoir honte d’être une proie • Tu fais donc une fixation sur le tiens et essaie de le cacher au possible et de ne jamais en parler • Tu as cette fâcheuse habitude de te mordre et/ou t’arracher un peu de la peau sur tes lèvres lorsque tu es nerveuse • Tu te tresses aussi souvent les cheveux pour occuper tes mains • Tu as une passion pour la mode dont tu n’as jamais eu les moyens pour la satisfaire • Tu aimerais vivre ailleurs qu’à Shallows sans pour autant vraiment croire que tu pourras connaître autre chose • Tu travailles beaucoup, dors peu, parce que tu enchaînes les horaires un peu aléatoire • Tu acceptes à peu près tout travail que tu peux trouver, pour peu que tu peux garder tes vêtements, espérant pouvoir continuer d’avoir le loisir de choisir • Tu aimerais vraiment pouvoir sauver le restaurant de ton père • Tu ne consommes pas de drogue et n’a jamais bu d’alcool • Tu considères la violence à ton égard comme quelque chose de normal • Mais tu aimerais bien que ça cesse, ce pourquoi tu gardes désormais tes interactions avec ta mère au minimum • Tu penses être bonne cuisinière, ayant appris avec ton père dans la cuisine du restaurant • Tu maîtrises beaucoup de spécialité japonaises, avec des recettes familiales dites secrètes • Tu aurais voulu faire des plus longues études • Mais tu ne sais pas vraiment ce que tu veux faire de ta vie

Histoire
C’est à se demander ce qu’il s’est passé. Quelle est l’erreur génétique dont tu as été victime. C’est, du moins, ce que ta mère s’est demandée, avant de simplement te considérer comme tel. Une erreur. Tu es la petite dernière d’une famille de quatre enfants, seule fille avec trois grands frères.

Seule proie dans une famille de bêtes.

Là était le problème, aux yeux de ta mère. Pas assez bien, qu’elle a toujours dit. Trop fragile, pour vivre ici. Parmi eux. Pour être utile, à la famille. Pour éventuellement pouvoir faire quoi que ce soit pour eux. Quant à ton père, il ne s’en est jamais soucié, seulement heureux d’avoir enfin une petite fille. Si seulement il savait... Si seulement il savait que ta mère était sincère, lorsqu’elle disait que tu n’étais rien de plus qu’une erreur. Que tu n’aurais pas dû être là.  

Tu es le fruit d’un adultère jamais assumé de la part de ta mère, qui depuis ton premier souffle a décidé de te faire payer ses erreurs. Tu ne t’es jamais sentie aimée par elle, rien de ce que tu pouvais faire était assez bien. Parce que tu ne l’étais pas. Erreur. C’est ce qu’elle a toujours répété. Ce que tes frères ont commencé à croire, aussi. Deux d’entre eux, du moins. Ton enfance a donc été particulière, entre les commentaires acides de ta mère et l’amour quasi infini de la part de ton père. L’une qui te reprenait constamment, peu importe ce que tu pouvais faire, et l’autre qui s’assurait de veiller sur toi. L’une qui laissait d’abord entendre son mécontentement. Puis sentir. Violence verbale, puis physique.

Parce que tu es une proie.
Parce qu’il s’agit de l’ordre des choses.

Tu as appris très vite à te débrouiller par toi-même. À ne pas chercher l’aide des autres. À ne surtout pas chercher leur attention. Ta scolarité fut relativement aisée, aussi aisée qu’elle pouvait l’être en considérant le semblant d’école dans laquelle tu te trouvais, enfant sage que tu étais, qui parlait peu et s’assurait de toujours faire ce qui était attendu de toi. Parce que telle est ta place.

Et les années se sont suivies sans que les choses changent vraiment. Tu as grandi dans cette ambiance de peur instaurer par ta mère, avec seul ton père qui te permettait de connaître autre chose que cette menace pesante. Constante. Un pas de travers et elle te le faisait entendre, avec son courroux seulement calmé par celui qui s’efforçait de veiller sur toi. La majorité du temps. Lorsqu’il était là. Ce qui n’était pas toujours le cas. Et tu te souviens de trop bien de la main de ta mère frappant ton visage, lorsque tu as osé tenter de te justifier. Tu te souviens des marques de la main de ton frère, sur ton bras, le seul jour où tu as voulu exprimer ton mécontentement. Tu te souviens des gestes brusques. De la violence. Des menaces. Reste à ta place, qu’ils te disaient. Sinon.

Tu ne t’es jamais sentie très proche de ta famille. N’a jamais eu l’impression d’en faire partie. Tu n’y étais pas à ta place, parmi ces gens qui t’ont toujours considéré comme étrangère. Intruse. Et pourtant... Et pourtant, lorsque les problèmes sont survenus, tu n’as pas pu te résoudre à ne rien faire. Parce que ce n’était pas eux, c’était lui. Ton père. Le restaurant qu’il avait hérité de son père qui lui l’avait hérité de son père allait de moins en moins bien. De moins en moins de clients. Des spécialités qui étaient de moins en moins intéressantes.

Problème d’argent, de plus en plus évident, qui ne semblait pas concerner les autres. Deux de tes frères sont partis vivre par eux-mêmes, pas leur problème. Le troisième lui faisait ce qu’il pouvait pour tenter de l’épauler, main d’œuvre que ton père n’avait pas à payer. Quant à toi ? Toi, tu ne supportes pas de le voir en difficulté. Ne supporte pas non plus de ne rien faire.

Tu essaies donc d’aider à ta façon, sans qu’ils ne le sachent. Sans que ta mère ne le sache, ne souhaitant pas la voir te mettre des bâtons dans tes roues. Pour ne pas non plus bousculer la fierté de ton père. Alors tu fais ça silencieusement. Discrètement.

Comme tu l’as toujours fait.
Dans l’ombre.

Tu as arrêté l’école, tant pis que tu t’es dit. Tu as commencé à enchaîner les petits boulots, tout ce que tu pouvais trouver et qui te permettrait de préserver un peu ta fierté. Allant de livraison à serveuse dans un bar, en passant par du trafic de produits illicites et peu importe, vraiment, ce que tu pouvais faire. C’est aussi au travers tout ça, en passant de plus en plus de temps hors de chez toi, que tu en es arrivée à construire cette petite collection trônant désormais dans ta chambre. Des comics et des romans, pas toujours très appropriés pour ton âge mais te permettant de découvrir autre chose ainsi que de te divertir. De te trouver différentes passions, ce que tu n’as jamais eu l’occasion de faire, par le passé. De découvrir autre chose à ce que la vie pouvait t’offrir.

Ça et cette console portative que tu adores. Tu n’as que deux jeux, pour celle-ci, que tu connais désormais par cœur. Vieille et presque désuète, tu sais que tu n’auras jamais de nouveauté mais tu ne perds pas espoir de peut-être trouver d’autres antiques encore fonctionnels. Peut-être. Parce que tu aimes bien les jeux vidéo, le peut que tu en connais. Ou plutôt, tu aimes les histoires. Tu aimes vivre autre chose. Aimes être ailleurs, le temps de quelques instants.

Ne plus être dans cette vie que tu mènes. Les différents boulots, pour peut-être te permettre de partir, un jour, mais aussi et surtout pour aider ton père. De l’argent que tu déposes dans son porte-monnaie sans jamais rien dire. Tu essaies, vraiment, de l’aider. De tout mettre en œuvre pour ça. Mais tu le vois aussi qui s’enfonce, lentement mais sûrement. Que la situation ne s’améliore pas.

Et qu’est-ce que tu peux faire, toi ? Toi à qui on a appris à avoir peur des autres. À avoir peur de tous. Toi à qui on a appris la violence, parce qu’ainsi sont les choses. Toi à qui on a jamais rien appris de plus. À qui on a pas appris la normalité.  

À qui on a pas appris en croire en elle.
Encore moins en ses propres capacités.

Situation Actuelle
Tu vis encore dans ce même appartement que tu as toujours connu, dans cette chambre trop ordonnée avec une pile de livres et comics triés sous ton lit. Tu vis dans cet appartement situé au-dessus du restaurant de ton père, enseigne familiale depuis quelques années, ce même restaurant qu’il essaie difficilement de faire survivre, et peut-être pas de la meilleure des façons. Sans doute pas de la meilleure des façons, en empruntant de l’argent aux mauvaises personnes. Aux personnes qu’il ne peut pas se permettre de ne pas rembourser. Alors tu t’efforces d’aider comme tu le peux, dans l’ombre, sans rien lui dire, enchaînant les petits boulots et glissant l’argent dans son porte-monnaie lorsqu’il ne regarde pas.  

Tu tentes de faire quelque chose de ta vie, sans trop savoir où tu vas, tentant de briser ces chaînes qu’a créé ta mère et connaître autre chose que cette sombre réalité qui a ponctué ton quotidien toutes ces années. La violence devenue trop normale, presque naturelle, avec une fixation sur ce génome pourtant sans importance que tu portes un peu trop bien malgré toi. Une erreur qui essaie simplement d’exister, de vivre, de découvrir la vie, sans trop savoir où ça va te mener et avec aucune idée de ce que tu es sensée faire.

Et tu te surprends, parfois, à rêver un peu.
À aspirer à plus.


Pseudo : Welzy
Age : 25 ans
Avatar : D.Va (Overwatch)
Comment avez-vous connu le forum ? grâce à Isao Hachisuka
Petit mot pour la fin ? bonjour !! ah et comme je suis un peu reloue j'ai changé le nom/les origines du personnage mais je peux pas le changer dans le profil, PARDON
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Insanitia
Admin
Date d'inscription : 25/05/2020
Messages : 171
Insanitia
Admin

Mer 6 Avr - 5:45

Fiche Validée !

Bienvenue sur le forum

Félicitation JIA LI YUAN, tu viens d'être validée!

Jia Li est vraiment un personnage attachant, une belle représentation de la "cage dorée" tu as vraiment une plume agréable qui nous emporte dans l'univers "timide" et "réservé" de ton personnage à travers ses pensées et ce formatage de pensée qui doit tellement la faire douter désormais car elle a du réaliser que le monde "se moque" du génome complètement, plus personne n'en parle et elle reste dans sa vision "façonnée" par une mère égoïste et détestable. Est-ce-que tu vas faire de ton grand-frère un prédéfini ? Ce serait super chouette de le voir jouer un jour pour sauver le restaurant du papa ! C'est vraiment un personnage attachant, qui est vraiment à la lisière du grand changement d'une vie, elle offre tellement possibilité d'évolution ! On a envie de la prendre par la main de l'emporter avec nous dans de folles aventures ! Autant qu'on veut lui montrer comme le monde est beau ! Vraiment un délice à lire, heureuse de t'avoir dans l'aventure et au plaisir de te croiser dans Shallows ! Merci pour cette fiche délicieuse !

Pour finaliser ton inscription, on t'invite à aller recenser ton avatar, puis ton métier et, dans le cas où il s'agirait d'un personnage supplémentaire, ton DC ! Tu peux aussi aller poster ta fiche de lien/rp et/ou ton téléphone. Ils sont tous deux facultatifs, mais tout de même bien pratique ~

Nous te souhaitons la bienvenue, amuse-toi bien !
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